Tout a commencé avec un petit hélicoptère télécommandé, reçu quand j’étais gamin.

Premier vol, premier crash… disparu dans les bois. Pourtant, cette minute de vol a suffi : j’avais compris que je voulais voler. Et surtout, filmer autrement.

En grandissant, je me suis intéressé aux vraies images aériennes. Mais très vite, j’ai compris qu’un tournage en hélico, ce n’était pas à ma portée.

Trop cher, trop lourd, trop loin de ma réalité.

C’est là que j’ai découvert les drones.

Accessibles, maniables, précis, ils m’ont permis de concrétiser ce rêve d’enfant : prendre de la hauteur et raconter des histoires différemment.

Depuis, j’ai filmé sur terre, dans l’eau, dans les airs, toujours avec la même envie : montrer ce que l’œil ne voit pas seul.

Avec Nao-fly, j’ai voulu donner un cadre à cette vision. Une boîte de production libre, créative, qui bouge avec les projets et les gens.

Et tout ça, ça vient d’un hélico perdu dans les bois.